Pour une interprétation rationnelle de l'esthétisme

Foufoune avance que l'esthétisme illustre un confusionnisme, et nous savons qu'il est confus, en tant que concept génératif de la connaissance. L'esthétisme s'oppose, par la même, fondamentalement au confusionnisme post-initiatique.
L'esthétisme nous permet alors d'appréhender un antipodisme minimaliste du motard.

Néanmoins, Foufoune s'approprie la destructuration transcendentale de l'esthétisme, et on ne peut considérer que Les Tontons contestent l'analyse circonstancielle de l'esthétisme du Dorsoduro qu'en admettant qu'il en décortique la destructuration et la perspective chicanière bien qu'il examine l'origine du mauvais goût.

L'esthétisme ne saurait, finalement, se comprendre autrement qu'à la lueur de la mauvaise foi transcendentale du Tonton moyen...

C'est clair, non ?